Vais je jamais connaître au détour du chemin, la paix du corps et de l’esprit ? Il y a ce quotidien d’homme divorcé, comme une traversée d’un désert affectif. Je n’en ai aimé qu’une et la voilà partie, saurais je donc jamais connaître un autre sentiment que le désamour ?
Est ce en ressassant les soucis comme un ressac contre une falaise, qu’on use peu à peu le rocher qui reste-t-immobile et de plus en plus seul au milieu de la mer ?
J’écoute “le voyage de Sahar” d’Anouar Brahem Et je me laisse bercer par cette musique triste