L’homme peu à peu
Découvre sans fin
Les voiles qui recouvrent
Et le voilà certains
Au delà de lui-même
Attaché à décrire
Les beautés de la Vie
Mais peu à peu
Les outils le dépassent
Et peu de gens sur terre
Peuvent encore comprendre
Les beautés de la Vie
Que la machine sait
Envisager pour lui
Quand te voilà soudain
Si petit devant elle
Tu écris donc à celle
Tu confis ton chagrin
A cette ritournelle