Photo sans flash o ù j’essaie de voir dans la profondeur de mon regard, miroir de mon âme… Comme le premier regard faisait plutôt peur, je l’avoue, j’en ai fait un autre dont voici l’extrait Et un autre
Vers six heures du matin
Vers six heures du matin, quand tout le monde dort encore… Je prend mon café, je sais que je vais oublier cette nuit sans rêve, je sais que je vais m’oublier dans ce jour qui se lève, happé par l’existence j’en oublierai de vivre et le soir venu fatigué de n’avoir pas vécu, je me …
Etat des lieux
Il y a une chose qui me préoccupe… Quand j’étais tout petit, je l’ai déjà écrit, mon père m’avait dit : “Les valises… Quand tu auras accumulé, tu seras lourd de tes valises….” Phrase sibylline s’il en est. Regardez mon bureau. Tant de papier, tant de livres non lus, et l’envie de les lire qui …
Il pleut sur mon pare-brise…
Il pleut sur mon pare-brise et pourtant mon cœur se grise des mélodies de Beethoven dans sa symphonie N°6 intitulée “la pastorale”. Non au plus profond de ma déprime il y a toujours la vie que rien ne brise et qui toujours se relève, il y a ce sentiment que le bonheur ne tient à …
Mon petit Bonsaï de Marronnier (2 ans)
Quelques photos à 20 jours d’intervalle de mon petit marronnier de 2 ans
Autoportrait dans les rideaux
Il regardait heureux son enfant, et cette photo dans la lueur des rideaux rendait heureux…
Au 14 de cette rue
Au quatorze de cette rue, oubliez donc le monde et ce pourquoi vous êtes venus. Oubliez de croire que vous allez trouver le bonheur assuré, il n’est pas de ce monde, oubliez vos soucis qui ne cesseront jamais de vous rattraper. Ceci est et restera à jamais un jeu de dupe. On nous fait vivre …
Immeuble
Où l’on essaie de se rapprocher du ciel… Où l’on essaie de faire attrayant Où l’on essaie et peut-être réussie
La beauté épanouie
La beauté épanouie Sous nos yeux ébahis Cet iris cueilli Par une main amie Pour égailler ma vie Quand ma fille me dit Sur mon visage elle lit La tristesse établie Je voudrais oublier A jamais oublier Mais je suis fait du bois Qui jamais ne plie pas Un jour déformé Et pour l’éternité
Ambiance bois
Dans la chaleur d’un printemps Venu si tardivement Un rayon de soleil Caressait le vivant Tout était à sa place Et cinq heures sonnaient C’était la fin des classes Je ne savais qui vraiment Remercier Pour cet instant fugace Je ne savais vraiment Pourquoi Tout m’était donc donné