Sourire à la vie, sans se prendre au sérieux. Ne plus jouer un instant dans un rapport de force mais sourire un peu comme baisser sa garde et sans craindre une fois de plus la pique acerbe des certitudes.
Sourire. Oui je souris souvent et je ne sais pas si c’est un sourire blessé ou un sourire de dérision.
Je voudrais sourire du sourire de la foi, du sourire du Dalaï Lama, de ce sourire là qui fait confiance au delà des aléas.