Idfolles – Page 18 – Par la force des contraires

Je n’ose pas penser

Je n’ose pas penser l’imaginaire qui me tient à coeur. Le seul geste qu’il m’est possible est l’absence de geste. Je suis seul et j’ai déja donné le suc de ma vie. J’ai donné mes plus belles réflexions dans ma théorie des non groupes. J’attends un écho dans le bruit ambiant. En attendant je n’ose …

Le temps qui me reste

Entre l’idée et sa réalisation, il y a souvent la vision d’un futur qui ne peut naître dans le présent. L’idée théorique existe depuis la nuit des temps. Elle surgit dans le présent qui s’adapte peu à peu, dans le temps, à cette nouvelle vision du réel qui se déforme ou se conforme alors à …

La quarantaine

Le bonheur c’est l’avoir au lavoir on oublie, le labeur tue l’ennuie, on oublie le désir de l’avoir cet objet dernier cri, mais être est des plus difficile et les leçons souvent sont connes et inappropriées à celui là qui toujours ne les suit pas. Celui là qui écrit n’est nulle part, ni être, ni …

Le propriétés du monde

Les propriétés du monde changent au gré du temps qui les fait évoluer. On ne sent pas ce changement et pourtant il est là à l’oeuvre à chaque instant. Un idée m’est venue Que j’appelle la signature d’un nombre premier

Résumé

Du nombre on ne peut résumer. Il existe pourtant des formules bafouées, des phrases oubliées qui claquent au vent et qui nous semblent définitives. Il faut voir comme un soir on reformule son passé cherchant à résumer l’instant passé, cherchant à le confondre, cherchant à séparer le mal du bien pour mieux le dépasser. Il …

Vivre

Entre penser et vivre il y a comme un grand fossé. L’émotion, le vécu, n’est ni dans le temps, ni dans l’espace, ce qui est dans le temps et l’espace c’est ce qui est pensé. (Bergson & Krishnamurti) Ce sera la pensée positive du soir Je vais me coucher un peu triste et je laisserai …

Les écrits

Je veux dans ces mots là comme effacer d’un doigt la buée sur la vitre et oublier d’écrire les mots définitifs. Non je n’ai plus le goût des idées qui ont mis tant de sel à ma vie. Je veux goûter les mots d’autrui, non pas ceux là dont les livres sont remplis, des pauvres …