Le temps, le temps de le dire, le temps de le figer sur le papier, la peur de la répétition, l’attente, le temps de rêver, le temps de répéter l’erreur qui s’accumule, la remise à zéro, le temps nouveau à nulle autre pareil, cette brique qui construit le futur, qui éloigne la répétition jusqu’à ce que l’on ressent à nouveau les cycles qu’elle engendre… Voilà ce que j’ai compris de la Vie et du temps qui passe.
Il n’y a pas de temps juste la conscience des cycles et des nouvelles briques. La conscience est le lieu du temps. Sans conscience il n’y a plus de temps.
La lumière même interagit avec la matière et vois donc le temps s’écouler. Il n’y a pas d’espace sans temps. Plus la conscience, le savoir en relation avec la matière, plus la conscience est grande et plus le temps s’écoule lentement, plus la nouveauté, ce nombre premier à l’horizon lointain mais qui toujours survient, plus la nouveauté est rare et précieuse.