Tout est cyclique. l’histoire bégaie et certains hommes ne semblent plus mues par le cycle de la vie et de la mort. Une grande tristesse me prend quand j’écris ces mots.
Dis moi pourquoi je suis né ai-je demandé à ma vieille mère qui m’a répondu : pense à moi qui ne sait pas pourquoi je vis encore.
Douce tristesse comme un sodad de Césaria Evora. Je suis dans la vie sans rechercher ce qui pourrai l’égayer car il me semble que c’est une fuite sans fin que j’ai déjà épuisé. Alors j’écoute une mélopée répétitive, je réécoute les mêmes choses mille fois déjà écoutées.
Je ne suis pas encore mort mais je fais tout pour.
Sans amour la vie est bien terne. Et je n’arrive pas à m’aimer tout seul.
Déprime pour seuls déprimés
Vouloir la vie en grand vous fait oublier que l’on est trop petit
Ceci n’a pas d’appât. Je suis seul