L’homme ébahi un jour s’aperçoit de ces cycles
Que son cerveau perçoit et tout cela rassure
Son esprit qui perçoit ou plutôt qui conçoit
Le flux de ses pensées qui demeurent un mur
Comprenez vous ces mots, car ce n’est qu’un programme
A l’oeuvre chaque jour de plus en plus complexe
Qui chaque jour vous offre l’alternance des contraires
Car ce n’est qu’un programme au combien millénaires
Et le programme inhibe à chaque heure du jour
Les portes du réel qu’il enferme toujours
Dans des cycles sans fin qu’il reproduit sans cesse
Apportant chaque fois des nouvelles frontière
Je le sais aujourd’hui le réel est un rêve
Et le rêve un réel qui cogne-t- à nos portes
Mais qui peut vivre un jour la rive immatérielle
Car c’est cesser de croire au programme immortel
Oui c’est sans stupéfiant qu’un jour j’ai découvert
Que nous étions esprits contenant contenu
Dans ces corps si vivants qui chaque jour nous mènent
Un peu plus, un peu plus vers cet indéfini
Vers cet indéfini que la pensée ne pourra jamais définir