Pourquoi et pour quel camp choisir ne pas choisir
Car toujours me revienne aujourd’hui comme hier
Les vieilles pensées d’un monde qui s’efface
Et d’au fond je voudrai être le garde en veille
Alors chaque fois je sens ma volonté vacillé sous mes pieds
Ne demeure qu’un désir et l’illusion de croire, un quelconque pouvoir
Je serais un vivant qu’on voudrai voir sûrement abjurer ce qu’il est
Ceci est impossible et je demeure sans voix
Et toujours me revient comme un secret destin
Il faudrait que je meure pour connaître la paix
Et non jamais je ne pourrais être autrement que dire
Je suis fait de ce sang qui ne saurait mentir
Non détruire la vie ne m’intéresse pas