Trop de questions, peu de réponses et peu c’est peu dire. Tout cela avoisine le zéro du plancher. Même le plancher des vaches est plus haut. Et l’effort t’a quitté, tacitement tu le sais, tu n’a pas besoin de le crier, tu es embarrassé du poids de ton inaction… Bien sûr qu’il ne faut pas le dire mais toi tu le cries sur les toits.
Qu’as tu fait de ces jours ? sinon que fuir… Te voilà fatigué de ne rien faire. Demain Lundi tu reprendras le cours de la semaine et tu feras ce qu’il faut.
Aujourd’hui est un grand trou, un grand puit, si profond que la corde est trop courte pour te désaltérer. Alors tu restes là l’estomac à jeun de tout alcool, alors tu restes là et pourtant comme un cierge tu brûles mais tu ne sais pourquoi, mais tu ne sais comment, mais tu ne sais pas encore si tu te fous de tout