Tu ne regardes plus la fleur qui fait le fruit
Et le chant des oiseaux qu’étouffe tout ton bruit
Tes noms tes catalogues encombrent le vivant
Regarde la douceur et la force sans nom
Du vivant qui pourrait surgir à chaque instant
Mais la douceur n’est plus et tout devient forcé
Comme on force un écrou qu’on ne peut dévisser
Mais as tu peur sinon de laisser le vivant
Donner la note la chanter à l’unisson
A l’unisson du la poursuivre l’indicible
Poursuivre un long sillon où la vie sèmerai
Selon, selon son bon bon plaisir invisible.