Travailler ici bas du soir au matin
Un salaire de misère, être esclave sans fin
Un esclave moderne qui pollue le terrain
Qui ne sait pas très bien s’il est mort ou vivant
Moi je suis tous les jours sur mon nuage blanc
Je regarde la vie et ne comprends pas bien
Le pourquoi du comment de tous ces vas et vient
Quand personne ne cueille la vie qui va mourante
Alors je chante un choeur en sifflant comme un fou
Moi je suis tous les jours sur mon nuage blanc
Je demande à la Vie de poursuivre le Hasard
D’une vie qui s’éloigne et peu à peu virtuelle
Travailler ici bas du soir au matin
Un salaire de misère, être esclave sans fin
Un esclave moderne qui pollue le terrain
Qui ne sait pas très bien s’il est mort ou vivant
19/10/2007