Dans ce passé que tu ne sais pas dépasser, il n’y a que cette suite aléatoire dont tu pourrais à chaque instant résoudre le prochain événement car au fond tout ne serait que le hasard que les mathématiciens tracent et retracent depuis Lehmer.
Car au fond tout ce qui n’apparait que du au hasard dit pur n’est qu’un grand nombre dont la suite n’est que pseudo-aléatoire.
Voici le slogan du jour : le hasard pur n’existe pas.
Exit la déraison voici venu le désespoir de savoir qu’il n’y a ni passé, ni présent, ni futur, qu’une suite pseudo-aléatoire.