Du nombre on ne peut résumer. Il existe pourtant des formules bafouées, des phrases oubliées qui claquent au vent et qui nous semblent définitives. Il faut voir comme un soir on reformule son passé cherchant à résumer l’instant passé, cherchant à le confondre, cherchant à séparer le mal du bien pour mieux le dépasser. Il faut voir comment je cherche une pensée plus générale, pour prendre un peu de la hauteur du philosophe mais sachant au combien que rattrapé par le seul quotidien, je ferais encore une fois machine arrière, déplorant une nature bafouée et puis demain disant : le monde ne peut, qu’être tel qu’il est, nous ne pouvions que l’exploiter, le déformer, le pervertir, le déshumaniser.
Chaque chose porte en soi sa propre perte. Il n’y a que le tao qui soit éternel.
Et quand ça me rattrape, l’envie de mettre à nue ma douleur, je sais que les circuits fermés de mes neurones vont jouer la même scène. Cette scène je la vois s’avancer, je ne peux reculer, je veux crier au monde ma folie et voilà ce que je dis.
A suivre