Tout mon être éperdu tend, tend vers la lumière
Et chaque jour j’écris les vrais, vrais sentiments
Qui jaillissent toujours au sein de la poussière
Et c’est donc bien celà que vous trouvez gênant
Préférez vous lecteurs des fictions éternelles
Suis je donc trop tourné vers mon petit égo
Faut il donc égayer de quelques ritournelles
Ces mots jetés ici qui ne sont qu’un sanglot
Mais je ne peux changer et contredire mon âme
Et je trouve dans ma vie tous les mots et les drames
Qui font cette matière que chaque jour modèle
Mes mains sur ce clavier un plaisir si réel.