Pour bien faire faudrait-il
Faudrait-il laisser faire
Mais vous n’y songez pas
Dit l’assemblé de fats
Comment ? le monde serait il
Que des cycles sans fin
Que le hasard gracile
Défait et joue sans fin
Mais vous n’y songez pas
Car sinon de ce pas
Ma raison de ce pas
Sur sa base vacille
Que faîtes vous de ces choses solides
Qui reviennent toujours
Immuables à mon âme sereine
L’Histoire et les règles des hommes
A jamais resteront
Comme des fondations
A tout celà je vous réponds
Le hasard et sa règle
Dépasse toute loi
Que vous mettrez à jour.