Il restera l’inaccesible sentiment de rejoindre sans doute la divinité
Il restera sans doute mille et un va et vient entre misère et grandeur
Et des milliers d’illusions
Tu touches des deux mains ce moment où renoncer est la seule chose possible
Mais ton rêve est comme la marée éternelle
Alors tes mots s’étalent mais de qui parles tu ?
De toi, de moi, surtout de toi
Qui croit encore gravir les sommets
Que d’autres on bien atteint
Mais dont tu rêves en regardant le ciel et ces si beaux cirrus
Là bas sur le rivage qui annoncent le mauvais temps
Tu parlais d’un envol adéquat vers l’étage abstrait du divin
Mais le poursuis tu ce jour
Mon ami ne rêve pas comme moi
De gravir les sommets
Mais je ne souffre plus de rêver
Mon ami je rêve