Mais pour qui te prends-tu toi qui te pends à moi, tuant le temps et clamant à qui veut l’entendre un discours débutant. Combien de cycles, combien de crises, combien de nombres premiers as tu donc déjà vécu. Ne crois-tu pas toi qui va tuant le temps que d’autres avant toi ont ainsi connu les divisions du temps !!!
Mais où vas-tu ? Tu voudrais donc trouver ce qui ferait de toi la nouveauté ? Mais ne le vois tu pas tu refais le chemin, tu referas le chemin du début à la fin. Voilà donc ton enfer !!!
Car c’est ainsi que nous voulons enregistrer le vivant, garder avant de le détruire… Tu seras le dernier qui quittera ces temps. On pourra dire enfin : Voilà c’est achevé !!!!
Alors de temps en temps tu lanceras des anathèmes et tu diras : je ne ferais plus un pas. Mais chaque fois le même : demain t’emporteras découvrir un nouveau nombre, une nouvelle brique. Et toi seul le pourra la graver dans la pierre… de ton cerveau qui tend à tout enregistrer.
Car voilà ton destin