Tu recherches des mots tout au creux de la fête
Cette fête défunte tout au creux de ta tête
Et les slogans qui tapent aux portes chaque jours
Voilà tu t’en méfies de tout leurs beaux atours
Le silence a frappé quand battent les machines
Elles tapent tapent pour oublier leurs crimes
Et les mots qui surgissent ne sont rien au regard
De toutes ses machines qui tapent dans le noir
Les machines sont là, sont là pour te servir
Et les mots peu à peu ne font plus que gémir
Car le coeur de la Vie a quitté le vivant
Les machines à la porte rythment tout le vivant