Le bonheur c’est l’avoir au lavoir on oublie, le labeur tue l’ennuie, on oublie le désir de l’avoir cet objet dernier cri, mais être est des plus difficile et les leçons souvent sont connes et inappropriées à celui là qui toujours ne les suit pas. Celui là qui écrit n’est nulle part, ni être, ni avoir, il est perdu. Ballotté comme une valise qui encombre il énonce des paroles négatives et c’est plus fort que lui. Il attend une mort qu’il a déjà vécu. Au milieu de sa vie, les quarante ans passés sont comme neige au soleil du printemps, elles fondent, elles s’évaporent. Que reste-t-il de nos amours chante le poète… La réponse est multiple. Il n’y a pas de réponse unique. Il y a des réponses qui s’enfilent comme des perles et des mots vérités seulement relatives. L’absolu se dissout, à dix sous, à deux balles la vérité perdue au comptoir de mon âme. La foi… La fois où j’y ai cru et puis je l’ai perdu dans l’océan perdu l’amour, le désert absolu que je traverse ici, la quarantaine….