Toujours levé des six heures, j’aime à rêver que je pourrai l’année prochaine me consacrer à des études supérieures en mathématiques. Je ferai ce que je n’ai jamais cessé d’aimer : faire des mathématiques. Comprendre la théories des groupes, des anneaux, le calcul tensoriel, les opérateurs, la théorie de la mesure et du hasard, l’application des mathématiques dans les calculs de l’ingénieur, tout cela ne me semble pas impossible, et je pourrai ensuite le transmettre en classe préparatoire à des jeunes qui y serait sensible.
En un mot faire des maths avec des jeunes qui aiment les maths, plutôt que des produits en croix, des calculs sur des pourcentages avec mes seconde professionnels. Sans péjoratisme aucun, je pense que je prendrai plus mon pied.