Tu regardes les yeux exorbités
Les filles au futal bien serrés
Les femmes aux poitrines généreuses
Les grandes les fiers les rêveuses
Celles qui te font chaque jour rêver
Tu les laisses chaque fois s’effacer
Et tu penses à la faucheuse
Qui a tué la bienheureuse
Celle qui dors à tes côtés
La jeunesse bien envolée
Te voilà seul à dégoiser
Sur ta pov réalité
Le bonheur est une chose
Que le temps comme un rose
A fini par se faner
Comme un bidet écaillé
Te voilà donc un peu morose
Mais ne prend pas la vieille pose
Mais prend le temps de regarder
Celle qui dort sur l’oreiller
Elle te reproche ton attitude
Si loin de la réalité
Elle te reproche ton hébétude
Et le le fait bien payer
Mais le bonheur que nul n’élude
Elle seule te l’a donné
Ton corps et les béatitudes
Contre elle tu l’as trouvé