Les hommes pourrait croire que sans leur culture, sans leur savoir, la civilisation serait réduite à néant….
Moi je rêve de ce monde où l’on aurait cesser de croire qu’il faut transformer le monde pour seulement pouvoir y vivre sans le détruire.
Regarder ce que font les hommes de la nature. Il observe la vigne qui donne le raisin, il la plante, la taille, la traite, récolte le raisin de plus en plus souvent à l’aide de machines, puis le presse, le mette à fermenter dans des grands fûts en ayant mis des levures pour faire partir la fermentation… Que reste-t-il de naturel ?
Moi je rêve de familles qui cueillent et récoltent pour elle même. L’usine c’est le cercle familiale… Je renie l’industriel destructeur, je renie le développement, le développement qui nous éloigne des faits réels de la nature.
On pourrait croire que sans ce développement, il n’y aurait rien, que nous ne serions rien.
En effet je ne serais pas en train d’écrire sur cet ordinateur, je ne prendrais pas chaque matin ma voiture pour faire plus de 60 kilomètre par jour, je n’aurais pas des supermarchés où trouver toute prête ma nourriture.
Mais celà vous ne pouvez pas l’imaginer. C’est définitivement impensable.
Vous croyez que sans ce que l’homme crée il n’y a pas de développement.
Seulement je ne puis que l’affirmer encore : c’est bien ce développement qui tue la création. Depuis que l’homme s’en mêle l’évolution s’est arrêtée.
Ainsi vivons nous dans le meilleur des mondes, celui des mort-vivants… dans un monde maîtrisé il n’y a plus de création, il y a la mort qui s’avance et prend sa place.