Sur le chemin j’ai vu le ciel clair du printemps et c’est ce souvenir qui me porte à poursuivre ce rêve que je fais si souvent quand je suis éveillé : comprendre le monde qui chaque fois nous échappe un peu plus.
Grandir jusqu’à ce moment là où tout desséché je lâcherai prise. Sur le chemin j’ai vu l’avenir où le hasard est à jamais au delà de ce qu’un homme peut comprendre, où il écrit des équations que seul lui sait résoudre.
J’ai fait le choix de croire comme un nuage dessine au milieu du ciel bleu mille figurine, de croire au hasard.