BONHEURS QUOTIDIENS – Page 13 – Idfolles

Parce que

Tu es là tout prêt de moi Prête à l’emploi Tu m’entraines A la conquête de Troyes Je pars avec toi Pour décrocher la Lune Chaque jour tu me démontres Que l’heure est venue Je pars là bas Au milieu des tiens Parmi ceux là Dont je me défiais Je pars avec toi Reconnaître enfin …

L’union

Mon bel enfant Pourquoi veux tu tout faire Mais soit confiant Dans la force du tout Mon bel enfant Pense à ce bel exemple Ton corps où réunis Des milliers de cellules Unis et diverses Dans un but commun Chacune pour chacune Mon bel enfant Ce grand corps dont tu es Une petite cellule Pourquoi …

Pourquoi j’écris

Tout mon être éperdu tend, tend vers la lumière Et chaque jour j’écris les vrais, vrais sentiments Qui jaillissent toujours au sein de la poussière Et c’est donc bien celà que vous trouvez gênant Préférez vous lecteurs des fictions éternelles Suis je donc trop tourné vers mon petit égo Faut il donc égayer de quelques …

le rêve

C’est un rêve puissant qui chaque jour me prend Au delà de tout mot, une drogue si douce Le rêve de créer cet énorme secousse Le rêve de créer au delà de l’humain Un être poursuivant au delà de nos morts L’essence de nous mêmes un être poursuivant Les hélices ADN sur un autre terrain …

Et je chante

Et je chante sur la terre Un vieil air un peu binaire Comme un cri qui me tente Un sursis cette guerre Qui fait rage ici bas Tous ces mots qui éclatent Sans raison sans éteindre Le feu qui est en moi C’est un chant sur la terre Tous les mots qui sont là Ma …

Cache-cache

Personne ne pourrait me dire Qui suis je et où vais je finir Personne ne saurait me dire Quelle route définir Tout seul un jour je vais finir Qui oserait me dire Tout seul pour penser et gémir Solitude est ma mire Personne ne pourrait me dire Tout seul je dois donc définir Personne ne …

En sifflant

Sur un air qu’on sifflote en pensant qu’on est bien Travaillant de ses mains, en allant au boulot Je me dis tout est simple et s’enchaîne si bien Il suffit de rêver, de rentrer dans les flots De poursuivre sans peur un destin souverain Sur un air qu’on sifflote à tue-tête et sans fin Regarder …

Complainte du poète

Je regarde ce mur que caresse un rayon De soleil matinal et je ne comprends pas Cette beauté si simple qui ne dit pas son nom Et je ne comprends pas mon profond désarroi J’ai cessé de penser, j’ai cessé de chercher A comprendre la Vie qui chaque jour m’échappe Et je vais dans la …