Mon site, mon écriture c’est un peu une auto-psychanalyse. Je sais que certains trouvent mes déballages, outranciers, se disent “trop c’est trop, il nous bassine…” ou bien interpellé se disent “il nous donne des battons pour se faire fouetter”.
Pourquoi ne pas garder un jardin secret ? Me dit ma femme
Tant pis je poursuis
Avant ce préliminaire je me rappelais une nouvelle réflexion qui peut peut-être faire avancer mon schmilblick.
Chaque fois que je décide que je dois faire quelque chose de ma vie, utiliser mon cerveau, s’élever, se cultiver, ne pas rester avec les quelques connaissances que je maîtrise, mais découvrir de nouvelles contrées… Sortir de mon désert et de sa répétition… Chaque fois donc je fuis, je fuis devant l’obstacle.
Comment fuis-je me direz vous. Dans un imaginaire qui s’il n’est pas stoppé tourne au délire.
C’est la première fois que je le dis, c’est la première fois que j’en ai réellement conscience.
Ma raison s’égare devant le travail.
Il y a de ça longtemps je disais que c’est en prenant conscience que s’éloigne le répétition.
Encore faut-il que cette conscience ne soit pas évanescente.
Voilà je poursuivrais cette réflexion dans les prochains jours