Loin du grandiloquent, au delà de ma révolte il y a comme un grand calme… Oui la certitude d’accomplir ce pourquoi je suis fait, ce que je veux faire, ce que j’ai toujours voulu faire : comprendre, comprendre le monde…
Vanité des vanités… Sans doute.
Mais le piano que j’écoute et les quelques lignes lues mêmes infimes me redonne confiance.
Aurais je le courage de me donner à corps perdu dans mes rêves ? Je le dirais dans cinq ans. Voilà je me fixe cinq ans. Pour à chaque heure du jour, à chaque heure de mes nuits, faire un pas vers, et encore un pas vers mon rêve.
Pour découvrir, pour m’ouvrir à l’inconnu. Même si cet inconnu n’est que déjà connu, découvert par ceux qui sont venus ici bas avant moi… Il n’y a pas d’inconnu il suffit de se souvenir disait Socrate, l’accoucheur des esprits.