C’est un peu de flonflon
Dans les rues de Chalon
Sur les chars en papier
Papier mâché carton
Les bell’ du carnaval
Affichent leurs sourires
Les confétis qui volent
Sont de saisons cessons
De croire à not’ folie
Les enfants rient et crient
Sous les yeux des mamans
Je m’oublie, je m’oublie
Je laisse mon amour
La femme de mes nuits
La femme de mes jours
Conduire sans frémir
Je m’oublie, je m’oublie
Les idées ennemies
Que notre haine émit
C’est ma femme qui conduit
Et j’oublie de penser
De mauvaises pensées
Dictature en puissance
Les enfants ont remplis
Des sacs de confétis
Et la fenêtre ouverte
S’envolent à tue tête
Les mauvaises pensées