Il y avait dans son regard cette part de hasard et pourtant il savait bien que le hasard n’existait pas, que le hasard lui même se calcule. Il était mathématicien, il avait le goût du nombre et il savait depuis bien longtemps déjà que tout était calculé, qu’il était là pour le ressentir, pour ressentir cette beauté du calcul bien fait, de ce rayon de soleil qui baigna un instant la pièce et vint éclairer les yeux bleues de la poupée de sa fille. Il le savait et ne voulait pas toucher au visage des choses. Il était l’observateur jusqu’au moment où il introduirait son propre calcul, sa propre vision, son propre contraire pour que meurt et renaisse l’existant, l’être.
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