Je voudrais de ce rythme écrire un autre mot, poursuivre une autre feuille et oublier un peu de mes alexandrins coupés à l’hémistiche, je voudrais de ce pas marquer une aventure vers un autre horizon, en claire et obscure, une terre nouvelle où de tous les contraires j’en connaisse un nouveau, qui par la dialectique éclaire un genre humain que personne connaisse et qui pourtant était tétait déjà le sein, mais n’était pas adulte et reconnu certain.
Ce nouvel horizon j’en vois déjà l’ardeur. Il est comme cet aube où un jour de printemps ou bien de février, l’horizon était clair et de ce bleu profond au milieu des gelées qui ici sont tardives, la clarté de ces nombres où mon esprit tremblant j’ai découvert enfin les multiples unités qui naissent et ne cessent de naître à chacun de ses cycles, les unités du groupe.
Je voudrais voir enfin comment chaque unité est comme une musique et dans le temps s’achève et dans le temps se crée et nous donne le temps qui hier n’existait, et nous donne le temps de vivre sa beauté.