Théorie algébrique des non groupes (7) – Idfolles

Théorie algébrique des non groupes (7)

Je reprends le texte (3) de cette théorie.

J’avais donc imaginé à partir du groupe diédral à quatre éléments que chaque éléments du groupe pouvait être à l’origine d’une infinité de nombre (chemin) qui tous se ramenait à un chemin e, a, b ou c.

En faisant cela je pense avoir introduit dans ce groupe la notion de temps, chaque chemin mettant un certain temps plus ou moins long à être parcouru pour connaître son résultat.

Chaque chemin correspond à un nombre entier, mais le résultat du chemin ne semble pas prévisible à partir du nombre entier.

Chemin Base 4 Base 10
ae=a 10 4
aa=e 11 5
ab=c 12 6
ac=b 13 7
be=b 20 8
ba=c 21 9
bb=e 22 10
bc=a 23 11
ce=c 30 12
ca=b 31 13
cb=a 32 14
cc=e 33 15
aee=a 100 16
aea=e 101 17
aeb=c 102 18
aec=b 103 19
aae=e 110 20
aaa=a 111 21
aab=b 112 22
aac=c 113 23
abe=c 120 24
aba=b 121 25
abb=a 122 26
abc=e 123 27

A partir de ces premiers chemins il apparait donc que 25 correspond au résultat b et non pas comme je le croyais que tous les nombres multiples de 5 correspondrait à un résultat égal à e.

J’ai donc tendance à penser que notre réalité fonctionne selon ce groupe et ces chemins, avec 4 éléments et un de temps, comme les cinq doigts d’une main.

Les autres réalités auxquelles nous n’avons pas accès fonctionneraient selon d’autres groupes et d’autres chemins.

Les bases ATCG de l’ADN m’apparaissent comme un signe que je suis sur la bonne voie. Les chemins que représentent un gène, un brin d’ADN, un chromosome me semblent être des réalités concrètes du concept chemin ci dessus.

Parcourir un chemin, est plus important que le résultat. D’autant plus qu’un chemin peut-être unique : un nombre premier et je dirais même plus tout chemin est unique.

J’ajoute quelques idées : le chemin conceptuel correspond aux états d’une chose dans la réalité. Chaque chemin, aussi court soit il, aussi long soit il, représente l’abstraction d’une réalité.

Le premier chemin aa=e qui vaut 5 en décimal représente l’alternance des contraires dont le premier exemple est l’alternance jour nuit. L’aspect binaire des contraires est sans doute facile. Cet alternance des contraires se fait par le même mouvement a. Le deuxième chemin ab=c vaut 6 je ne sais pas encore ce qu’il représente. Qui a une idée ?

je pensais à aa=e mais il y a aussi bb=e qui vaut 10 et cc=e qui vaut 15 alors puis-je penser que les chemins égaux à e qui peuvent donc être lu dans les deux sens (palyndromes de mouvements) pour obtenir toujours l’immobilité sont des contraires….. mais alors ab=c (6) et ba=c (9) sont aussi des contraires….