Répétitions pdf de 85 poèmes – Idfolles

Répétitions pdf de 85 poèmes

Les hommes le plus souvent se prennent pour des êtres possédant raison et surtout volonté. Ils pensent que le monde va là où ils le veulent et s’ils n’ont pas cette impressions ils pensent qu’on les dirige
En fait il en est tout autrement.
Le monde n’est qu’un ETAT d’information au niveau quantique comme macroscopique. Un système d’information qui va du simple vers le complexe selon des principes, des lois dont la plus simple est :
Tout ETAT doit avoir son ETAT CONTRAIRE pour être anihiler, pour disparaître.
La deuxième loi tout aussi simple est celle de la notion de GROUPE en mathématique. Tout doit évoluer selon un GROUPE.

Il existe un GROUPE infini celui des entiers où chaque nombre premier apparaît comme une nouveauté, c’est pourquoi le monde des ETATS d’information n’est pas fini.

Il est vain de croire que le monde doivent aller dans un ETAT ou un AUTRE, ce n’est pas du tout de notre fait, s’il va dans une direction ou une autre.

Ce que l’on appelle âme est en fait un ETAT d’information dont le support est la lumière. L’ETAT d’information peut aussi être considéré à tort comme un PROGRAMME, c’est à dire qu’une fois TELECHARGE dans le monde materiel il interagit avec ce monde MATERIEL pour l’agencer comme son programme le définit.

Certains peuvent penser tout n’est pas programme, où est le hasard,où est la volonte, où est l’environnement.

Le HASARD n’intervient que dans la conception du PROGRAMME

Notre vie est un test, comme on lance un programme informatique et l’on observe ce qu’il peut faire.

L’ETAT est unique Et l’ensemble des ETATS est infini. Les étoiles et les trous noirs sont les centres de calculs des ETATS.

Cette vision peut paraître fataliste.

Il est une chose que maintenant le programme peut faire, que le vivant peut faire, c’est programmmer l’ETAT suivant. Cette dernière phrase est une véritalbe connerie

Voilà le vrai rôle de l’humanité à mes yeux : encore une connerie parasite de mon esprit

Maintenant que penser de ces hommes qui veulent diriger d’autres hommes !!! Quand on prend conscience de l’ETAT c’est le propre de l’homme, une grande peur s’en suit. Prendre conscience de l’ETAT ne veut pas dire le connaître. Ce n’est que le début. Il y a alors pour le sujet-objet une erreur de PROGRAMME. Il voudrait voir tout le monde dans un seul ETAT, que plus rien n’évolue, que tout soit pour la fin des temps dans le même ETAT.

Hors et K n’a pas cesser de le répéter, la première et dernière Liberté (c’est un titre de ses livre) c’est de ne pas faire un geste mais de laisser le PROGRAMME finir…. Cesser la lutte contre ou avec le PROGRAMME, connaître l’ETAT sans vouloir un autre ETAT.

Alors le PROGRAMME se déroule et nous sommes enfin devenu de vrais spectateur, alors nous pouvons CONNAÎTRE le programme.

Je reviens d’une manifestation (celle du 29/01/2009) : on m’a en tant qu’anarchiste traité d’utopiste.

Je pense seulement que ceux qui veulent influer sur le monde, ne font que le perturber et empêche sa véritable réalisation…

Je pourrais traiter d’UTOPISTE de REVEUR ceux qui croient qu’ils peuvent influer sur un ETAT qui dans la matière se réalise tel qu’il l’avait prévu, car nous ne sommes qu’un PROGRAMME, l’ACTE de L’ETAT.

Tout ceci vous semble sans doute un peu vain ou même débile. Je ne vous demande pas de croire mais de constater que vos actions sont vaines…

Par CONNAÎTRE je n’entends pas reproduire ce que l’on a appris, j’entends juste ÊTRE…..

En discutant avec un collègue : je lui disais : je crois même que les ogm font parti du programme.

Il m’ a répondu : avec des raisonnement de ce type, on aurait laisser faire les nazis….

Je ne dis pas qu’il n’y aura pas des programme contraire aux ogm, je dis seulement que parmi ceux qui agissent on n’empêchera pas les créateurs d’ogm. Et pourquoi les interdire car il y aura toujours quelqu’un pour lever cet interdit.

Quand on est libre on semble en dehors des questions de choix, de pour et de contre. Cela peut choquer. C’est pourquoi l’on se demande encore ce que l’on fait ici bas.