Ce qui me rend insatisfait le plus dans mon anormalité, c’est de ne pas réaliser, de ne pas être pleinement ce que je suis vraiment. Je peux comprendre qu’un système donné (l’éducation nationale) impose des règles que je dois suivre mais aujourd’hui je veux trouver le terrain, non je veux fleurir dans un système que je veux faire mien.
C’est pourquoi je sais que la solitude qui m’a fait pleuré Vendredi soir est la seule qui puisse être le terrain adéquat de ma floraison. Je ne veux donc ni d’une association où rencontrer des gens, ni d’une psychologue qui me soutienne, ni d’une retraite dans une quelconque religion dont la sagesse est de toute manière devenue dogmatique.
Je veux vivre libre subissant les contraintes et seul pour m’en délivrer.
Pour finir ce petit texte résumé d’une réflexion mûrie dans le week-end je vous livre un texte automatique que j’écris aussitôt.
La solitude marie l’étude et les fondements et toi Marie qui fut ma femme tu as été cet être aimant qui voulait tant me voir vivre normalement. Mais non je ne suis pas celui là mais pourtant d’avoir connu la vie des gens normaux sans l’être vraiment j’ai apprécié la blanquette au repas du dimanche et vous mes enfants aussi je sais sans vous… on m’a offert le tableau, le paysage vivant, et si j’y pense ce soir c’est pour vous dire : non je ne renie rien. Mais demain tu le savais, vous le saviez je devais aussi connaître encore plus de cette étude, quand tout le monde dort et qu’à la lumière j’éclaire ma vie pour un jour éclairer je ne le sais peut-être la votre