Boussole ô ma boussole as tu jamais montré
Le nord qui s’évapore sous mes pieds épuisés
De te chercher toujours ai je jamais trouvé
Que mille conventions, la vérité noyée
Dans le marc de café, le nord évaporé
Je suis seul à jamais comme Ulysse entravé
Écoutant les sirènes aux milles voluptés
Je suis seul à jamais dans les flots égarés
Je ne veux rien penser, je ne ne veux rien penser
Je suis comme un long rêve et toujours effacé
Ainsi le veut la vie telle est sa volonté