Notre père, on parle de vous
Dans les échos, les canards
Mais parole de fêtard
De moi à votre Vous
Vous restez l’inconnu
Et vous nous laisser là
Baignant dans notre jus
Ici pas de lézard
Vous êtes l’inconnu
Ad vitam eaternam
Et plus l’on s’en approche
Et plus l’on sent si loin
Le sommet c’est trop moche
C’est un jeu de vaurien
Votre flèche décoché
A dans mon cœur laissé
Le parfum ineffable
D’un château fort en sable
Qui jamais ne s’effrite
Mon Dieu vous êtes un mythe