Le verre à moitié plein je ressens cet espoir et je sens à la lueur du jour qui baigne ce midi la chaleur de l’automne au travers d’une vitre et je sais que le monde est parfait, à chaque instant qui meurt il faut cueillir la joie de le voir naître à nouveau, et dans cette joie si sûre vouloir le transformer comme un jour le potier nous insuffla la Vie.
Croyez moi la volonté qui nous guide ici bas, nos volontés multipliées qu’elles soient mauvaises ou bonnes, croyez moi tout est possible encore. Et nos penchants nous mènent toujours vers le plus haut comme l’écrivait Goethe dans Faust car l’âme échappe toujours au Malin dont le pari avec le Divin est toujours perdant.
Alors dans cet après-midi calme je vous le dit sans peur encore une fois : la Vie pourvoie à tout