Il est un jeu que l’on peut vivre à jamais ou d’un seul coup d’un seul faire voler en éclat, refusant de le rendre décisif. finalement si facile est la décision de changer et si usante et difficile à supporter le choix de souffrir à jamais d’une situation dont on connaît toutes les variations monotones. Tout comme depuis trois mois j’ai décidé de ne plus importuner ma mère au téléphone, je peux dès ce jour ne plus parler de cet homme qui se complaît dans ses répétitions inactives.
Voilà l’objet de ce recueil intitulé 2010 : nouvelle année, nouveauté, le mot répétition a cessé d’exister.