Dans ces instants là que l’on doit reconnaître comme un visage connu d’un parent si proche, je sais comme une certitude que tout est cyclique.
Je sais que si je prends le temps de ne rien faire, si je prends le temps d’apprécier ce moment où j’écoute de la musique, c’est un moment récurent chez moi.
Avec l’âge on reconnaît, on connaît une deuxième fois. Certains sages vous diront que c’est le fait de reconnaître qui nous place dans l’espace et dans le temps (Bergson ou Krishnamurti) mais d’autre comme Schrödinger nous montre que ce n’est pas la réalité qui change mais notre regard qui la fait changer. On reconnait sans toutefois connaître à nouveau la même chose car notre regard est différent, a évolué dans la spirale espace temporelle qui nous emporte.
Je préfère me laisser porter sans mettre toujours les mots sur les choses et les figer. Je préfère nager dans l’élément, être porter, me diriger très peu, consommer le moins d’énergie car en matière d’énergie il y a toujours un gradient, une pente. Nous tendons tous vers le niveau d’énergie le plus bas….
Si mon regard a changé, si ma réalité a changé je n’y attache pas une importance primordiale.
J’ai découvert un continent inconnu celui du nombre et des cycles. A d’autres de trouver une application technique à ma théorie.
J’imagine que cette théorie peut avoir des applications certaines dans la prévision, dans l’art de la prédiction.
Il faut avant tout prendre un phénomène capable d’être isolé dans une certaine mesure. Une plante, un bonsaï me semble être un bon exemple. Trouver alors le cycle, le nombre base du groupe qui ensuite donnera la succession des états suivant la méthode décrites dans le texte “Dieu ne joue pas au dé…. Il compte”.
Voilà ce que je peux dire, voilà l’inconnu que j’apporte dans ce monde. Certains lisant ce texte peuvent penser que je suis bien sûr de moi…
Je n’ai pas à ma disposition un laboratoire de recherche pour étayer ou non ma théorie. Sans doute n’en aurais-je jamais un.
J’offre ma théorie au regard de ceux qui peuvent la comprendre