Toute ressemblance avec des personnes ou des événements ayant pu se produire serait purement fortuite
C’est l’histoire d’un tunisien qui a travaillé toute sa vie. Il a travaillé dur dans le monde de la métallurgie. A cinquante cinq ans on l’a mis dehors, à la pré-retraite. On lui a dit : Tu sais tout le monde n’a pas ta chance….
Ce jour là il était en train de faire son jardin, vous savez un jardin d’ouvrier, bien tenu avec sa petite baraque pour ranger les outils, ses rangs de tomates, ses courgettes et ses potirons bien ronds.
C’est un homme sobre mais qui n’aime pas qu’on l’emmerde. Un homme un peu bourru qui trouve qu’on la jusqu’à maintenant assez baisé.
Puis voilà qu’un deuxième homme, type caucasien comme on dit dans les films américains, vient plusieurs fois le voir. Ce deuxième homme est un peu agressif..
Mais notre homme tunisien reste calme même quand on le traite d’arabe…
Jusqu’au moment ou notre caucasien trouve la faille qui le fera sortir de ses gonds. Il le traite de voleur. Or s’il y a bien une chose qu’il n’a jamais été c’est voleur.
Alors il prend un marteau et menace le caucasien qu’il va lui casser la gueule s’il continue de l’emmerder.
Le caucasien s’en va porter plainte chez les flics. Les flics l’écoute et en l’absence du commissaire principale prennent des initiatives.
Notre premier homme le tunisien est donc mis en garde à vue et déféré au parquet pour une comparution immédiate.
Verdict : 800 euros d’amende et 3 mois avec sursis.
Vous trouvez ça normal. Moi je dis vive la France, nous sommes tombés bien bas.
La suite dans un prochain numéro.