Du tréfonds de mon être il y a ce sentiment qui toujours me revient : une injustice folle en actions dans ce monde, où chaque homme est devenu comme un pousse-boutons, où l’homme est satisfait de ses actions polluantes, satisfait d’une croissance destructrice.
Au nom de quoi agir quand on voit des écosystèmes dévastés par l’exploitation du pétrole, des forêts équatoriales, des minerais en tous genres. Au nom de quoi détruire.
Au nom du progrès me direz vous !!!
Je hais ce progrès là si loin de l’harmonie à l’œuvre dans la vie.
Mais il y a un espoir, oui il y a un espoir !!! Ces hommes et femmes qui renient la société de consommation. Ils vivent dans des yourtes, ils vendent des produits bio (et pas le bio industriel des supermarchés) sur des petits marché, ils ne sont pas parfaits mais d’une certaine manière ils montrent un autre chemin.
Je rêve de communauté, je fais des rêves communautaires où l’argent n’existe plus, où le monde s’effondre d’avoir briser la vie et les abeilles nourricières (mais ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres), où l’on offre et l’on reçoit sans qu’aucun homme exploite un autre homme.
Voilà, ceci est mon rêve. Il est niché aux tréfonds de mon être.