J’ai la tête aussi vide et perdue qu’un damné
Qui n’a de solution, ni d’autre alternative
Que d’accepter ce vide où aucune pensée
Ne survient plus jamais où l’aube récidive
En apportant toujours les couleurs identiques
Et pourtant je le sais c’est ainsi que tout nait
De ce vide éternel au temps subatomique
Car il est une chose où les mots sont défaits