La solitude était toujours brisée par notre volonté de la fuir. Je ne voulais jamais être seul et quand je l’étais, immobile, j’en souffrais. Mais une fois acceptée comme un instant de vie qui dépasse tous les autres, enfin être seul peut il devenir l’acte souverain. Encore faut il le vivre comme une méditation, une réflexion, un chemin de rêves aux pensées les plus claires, les plus fines, les plus prégnantes sur la réalité. Des moments de solitudes pour écouter, pour lire les rêveries d’autres promeneurs solitaires qui ont déjà tant fait de parcours.