Huit ans durant j’ai vécu comme un moine et les années passées apparaissent maintenant comme une longue attente à trouver cette voie, ce statu-quo, où l’amour est bien mort, où les enfants ont si vite grandi et loin d’être gâchés connaîtrons ces parents qui vivent côte à côte sans amour l’un pour l’autre, ces parents qui peuvent ensemble apporter ce qu’ils sont et qui les construiront…
Ainsi voici ma voie : Celle que j’envisage. Nous élèverons nos enfants du mieux que nous le pensons et chacun de nous deux, leurs parents, peu à peu connaîtra une deuxième vie sans renier, sans détruire la première, qui fut et pour l’éternité la fondation.