Ne renie pas ton camp
Mais tu n’es qu’un enfant
Pour qui souvent raison
A le dernier parlé
Ne renie pas ton camp
Celui des hommes libres
Qui comme bactéries
Ont un jour compris
Qu’exploiter son prochain
Mène tout à sa perte
En dehors du mot libre
Il n’y a pas de salut
Et ton camp et ton chibre
A jamais est celui
Des enfants innocents
Qui ne connaissent pas
Du mensonge aggravé
L’univers des adultes !!