Mais voyez vous si nos chemins sur la terre
Que voulez vous si souvent si différents
Je ne vois là rien, qui jamais me désespère
Car nos mains vibrent sous le même firmament
Mais voyez vous je pleure très souvent
Quand je m’endors je ressens la misère
Qui obscurcit le jour et tout le firmament
De mes frères de combat abandonné sur la terre
Mais voyez vous mes sanglots de misère
Troublent mes yeux et je m’endors mes frères
En rêvant de revoir les soleil et la vie
Vos sourires qui perlent, qui perlent à vos paupières
Mais voyez vouss nous sommes si différents
Parce que issus de la même faible chair
Par l’origine on court, tous, à la même guerre
Puissants écoutez moi et soyez donc vigilants
Car voyez vous c’est la même galère
Qui nous emporte sous le même firmament
Si l’un de nous, malheur, vient manquer à l’appel
Tout l’édifice s’écroule, Ô misère, Ô misère.