Quand je relis mes mots j’y trouve l’aliment de ma sagesse et si parfois je crains d’y trouver un peu de ma déprime, je me dis celle-ci ne doit pas être l’arbre qui cache ma forêt.
Je veux trouver le terrain adéquat de mon envol, renoncer à jamais à la révolte destructrice, renoncer à jamais aux sentiments qui obscurcissent ma vue devant tant de beauté, ces ressentis si durs qui me font fuir ailleurs loin de l’action souveraine.
Donnez moi cette chance de faire ce que j’aime : réfléchir aux maths supérieures. Donnez moi cette chance que mon esprit se coltine ces travaux là, se frotte à ce qui le fait vibrer.