Sous le soleil d’hiver que filtre ta fenêtre
Tu te laisses bercer d’une douce chanson
La vie peut bien attendre et continuer son ch’min
Toi tu n’y es pour rien et depuis trop longtemps
Tes rêves d’hier ne troublent plus tes jours
Tu te laisses bercer de l’aube au point du jour
Ta tristesse dégouline et tes larmes s’en vont
Un ruisseau, des sillons comme un autre toi-même