Je suis en ce jour persuadé que l’idée au sens platonicien, tout comme le Tao qui investit toute chose, ne font qu’un. Et l’élévation consiste à connaître ces formes et agir pour qu’elles se réalisent.
Ma théorie du non algèbre avec ses nombres-chemin qui ne sont que la multiplicité des éléments du groupe support, me semble être une Idée que je n’ai vu nulle part. J’en parle autour de moi sur des newsgroup de langue anglaise ou français sans succès.
Je suis donc persuadé que cette idée que tout nombre symbolise une succession d’états parmi un nombre fini d’état (ce nombre fini peut être choisi comme étant les éléments d’un groupe au sens mathématique). La succession d’états étant un chemin dont le résultat final au sein du groupe est innaccessible au départ. Cette idée me semble comme novatrice. Elle permet de comprendre et d’accepter que tout est nombre et que le nombre, l’idée qui sous tend la chose, l’objet vivant, et toute chose est vivante car évoluant, la fait passer dans différents états qui s’ils sont nombreux nous semblent toujours nouveaux et peu répétitifs alors qu’ils le sont de toute manière.
Il me faudrait montrer que des choses simples du monde des objets sont associées à des nombres et groupes d’états. Un objet aurait donc une ligne de vie. Le plus dure est de comprendre comment il existe une variabilité dans la longueur de cette ligne et comment il n’existe aucune chose ayant la même ligne de vie.
Si je prends l’exemple d’une montre qui égrène les secondes. Deux montres ne peuvent en aucun cas être synchrone. Donc si on prend N montres elles indiqueront toutes N temps différents et leurs N successions d’unité de temps seront toutes différentes (même s’il existe une périodicité)
Le groupe qui sous tend une montre est complexe voir multiple :
Si nous regardons l’aiguille des secondes le groupe est Z/60Z
Si nous regardons les minutes c’est aussi Z/60Z
Si nous regardons les heures c’est Z/24Z
Si nous regardons les jours une irrégularité intervient du au nombre de jour qui ne sont pas constant par mois, idem pour les années
Voyons les éléments distincts de chacun de ces groupes.
Cette notion du temps est cyclique et antique. Aujourd’hui dans une causalité établie, le temps apparaît linéaire.
Prenons une quantité, soit un nombre et convertissons le dans la base égale au nombre d’éléments distincts de Z/60Z
Nous obtenons une succession de position de l’aiguille seconde et une position finale.
A quoi cela correspond il dans le réel.
Comme une succession d’évènements temporels qui ont lieu à des positions précises de l’aiguille seconde.
Mais comme je le précisait au départ chaque montre a son temps propre.
Donc si l’on prend les différents stade de développement d’un être vivant de la fécondation au stade morula, puis blastocyste etc…. Ces temps vont être chaque fois différents. Et vous obtiendrez pour chaque être le nombre qui est le sien.