La vérité qui peu à peu s’efface
Comme on monte quatre à quatre
L’escalier de sa classe
Où s’écoute parler le bèlatre
L’instant où le piano éclate
Un langage universel
Comme ses vieilles maths
Qui jouent depuis Courcelles
Je regarde danser l’idée
Sous les mains du pianiste
L’èquation me résiste
Et je ne peux m’y plier
Dvorark a sa rythmique
Assurée et poétique
Et je cours de note en note
D’une folle idée à une autre moins sote